samedi 18 février 2012

Des projets qui s'entassent dans les tiroirs



Hadjout, vient d’un seul coup perdre deux grands projets environnementaux.
- Le CET (Centre d’Enfouissement Technique) censé être réalisable en 2011
- L’aménagement de la “foret Slimania”, censé être diligenté par la Direction de l’Environnement de la Wilaya de Tipasa et dont le budget de réalisation vient d’être détourné pour “un projet-vitrine” qui n’existait pas auparavant.

A ces deux échecs, passés sous silence, par nos “illuminés” représentants de notre ville au niveau communal et au niveau de l’APW, c’est l’espoir de plusieurs générations de cette bourgade qui vient d’être anéanti, en attendant d’autres qui vont certainement apparaitre, dans les mois à venir.
Il est, malheureusement, triste de constater qu’on a été représenté par une médiocrité criarde et que l’on continue à entendre encore les diatribes de cette médiocrité, pour ne pas dire nullité.
Si les gens, censés aimer et activer pour le bien de cette ville, laissent passer l’opportunité de montrer leur désarroi et leur désapprobation à ce qui s’est fait jusqu’à présent et à ce qui se fera à l’avenir, par une caste de pseudo-politiciens qui ne sert qu’à se promouvoir financièrement et se doter d’une légitimité de façade, qu’ils se taisent à jamais.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Je suis juste consterné par ce que je viens de lire. ALLAHOUMA KOUNEK AALA EL DHALIMINES ET SUR CEUX QUI DETRUISENT NOTRE VILLE ET QUI NE PENSENT QU'A SE REMPLIR LES POCHES.

WWW.MARENGOMONAMOUR.COM

Anonyme a dit…

HADJOUT est soumise à un diktat qui use des méthodes renforçant ainsi le doute quant à la gestion des affaires au demeurant obscures, il est bien évident que les autorités excluent toutes initiatives qui émanent d'une société civile éclairée....Dans un état qui se respect il suffisait seulement et uniquement l’approbation du maire et de son conseil municipal mais ces derniers sont devenus des serpillières sous les pieds d'un mafieux qui n'a rien à voir avec son rôle de commis de l'état LA SANCTION SALUTAIRE NE DOIT ÊTRE QUE LE BOYCOTT DES ELECTIONS LOCALES